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Nathalie Foucault

Santé

Nathalie Foucault a grandi à Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Elle a étudié au Collège Saint-Bernard, au Cégep de Drummondville, puis à l’Université de Sherbrooke dans le but d’obtenir un doctorat en médecine pédiatrique. C’est l’amour qui la ramène à Drummondville. Elle s’y établit avec Jean-François Milot pour fonder une famille où naissent Marie-Élizabeth et Jean-Frédérick.

Elle commence sa carrière en juillet 1997 à titre de pédiatre à l’Hôpital Sainte-Croix jusqu’en 2002 et la poursuit ensuite au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS) de 2002 à 2010, et ce, tout en accueillant sa clientèle drummondvilloise à son bureau, soit de 1997 à aujourd’hui. C’est le 11 mars 2015 que la Dre Nathalie Foucault et toutes les personnes importantes dans la vie de l’enfant se rencontraient autour de la première « table clinique » au Centre de pédiatrie sociale en communauté Les Petits Bonheurs, situé en plein cœur du quartier Saint-Joseph, pour discuter et trouver des pistes de solutions aux différentes problématiques médicopsychosociales, tous ensemble, pour le mieux-être de l’enfant et de sa famille.

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Desservant une clientèle, dite vulnérable, âgée de 0 à 18 ans, la Dre Foucault est bien au fait que la proximité est très importante. Le fait d’être à distance de marche de l’école et du milieu de vie de l’enfant facilite grandement les choses. La Dre Foucault dit avoir la chance d’être entourée d’une équipe extraordinaire composée des membres du conseil d’administration et de la direction, d’une travailleuse sociale, d’une éducatrice spécialisée, d’une responsable à l’accueil et de nombreux bénévoles qui, grâce à leurs talents respectifs, participent aux services offerts au Centre de pédiatrie sociale en communauté Les Petits Bonheurs. Au bout du compte, le plus important selon elle, c’est l’enfant et sa famille et le fait d’être près d’eux et de rester à l’écoute de leurs besoins.

Au quotidien, cette femme dynamique souhaite trouver des solutions « ensemble », soit avec les enfants, leurs parents, leurs proches, ainsi que le milieu scolaire et communautaire. Selon elle, la concertation est primordiale et celle-ci nécessite une excellente communication avec tous.

« Il faut ramer dans le même sens », image-t-elle.