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Gilles Beaudoin

Arts et culture

En 1996, lorsque l’heure de la retraite a sonné pour Gilles Beaudoin, une nouvelle ère commençait aussi pour lui. L’année précédente, cet homme qui a œuvré dans le domaine de l’enseignement dès 1961 avait commencé à s’engager de façon appuyée au sein de la Symphonie des jeunes Drummondville ainsi qu’au parascolaire des Chênes, un service offert par la Commission scolaire des Chênes (CSDC) aux jeunes du primaire, du secondaire et du cégep visant l’apprentissage de la musique par des cours privés ou semi-privés. Après s’être renouvelé au fil des années, ce mandat dure depuis bientôt 23 ans.

La Symphonie a donc été mise sur pied en septembre 1995, avec le concours du directeur musical Serge Fréchette, un homme que monsieur Beaudoin qualifie de « bras droit très puissant ». Elle est constituée de 60 jeunes musiciens, tout comme son volet « Relève ».

Toujours en 1995, le parascolaire était pris en charge par cet homme qui, au fil du temps, a vu son travail récompensé, notamment par un hommage de la Commission scolaire des Chênes, en 2005, et par l’obtention du Prix reconnaissance Claude-Béland, décerné par la Caisse Desjardins de Drummondville, en 2008.

 

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Depuis la création du parascolaire des Chênes, les élèves des niveaux primaire et secondaire en plus des collégiens ont accès à un guichet unique pour toute formation musicale (instruments de musique et chant). Et le succès ne s’est jamais démenti. Depuis sa création, le parascolaire des Chênes a accueilli pas moins de 2500 jeunes, dont la fille de Gilles Beaudoin.

L’engagement de celui-ci au sein de ces deux organismes dédiés à la musique est grandement attribuable à cette inscription significative. En accompagnant sa fille dans ce cheminement, Gilles Beaudoin apprenait à accompagner les autres enfants.

Il y a quelques années, Gilles Beaudoin n’a pas hésité non plus à mettre son grain de sel dans le dossier de l’école Duvernay, où cette forme d’art est maintenant enseignée. Il a agi comme un facilitateur dans ce dossier. Durant de nombreuses années, il a fait partie du Comité arts et culture à la Ville de Drummondville (soutien à la pratique artistique) en plus d’intégrer l’événement Opus, jeunes virtuoses.

S’il confie aimer tous les instruments de musique, ce passionné concède qu’il n’est pas un musicien, mais plutôt un mélomane appréciant tous les styles musicaux populaires, sauf le heavy métal. Comme on le devine, il a un faible pour la musique classique.